GAÏACTICA, LE PREMIER ESCAPE GAME POUR SAUVER LA PLANÈTE DU RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE ?

Gaïactica est la première aventure immersive grandeur nature sur le thème du dérèglement climatique. Financé par la Nef, cet escape game d’un nouveau genre a ouvert ses portes le 28 septembre, à Cap Sciences, un centre de culture scientifique, technique et industrielle situé à Bordeaux.

Photos de l'intérieur du vaisseau gaïactica

OBJECTIF TERRE : ENTRE SCIENCE ET FICTION 

Gaïactica est une aventure scientifique et ludique qui se déroule en équipe dans un décor de vaisseau spatial grandeur nature, doté de technologies de voyage temporel. La mission commence à la fin du XXIème siècle, l’objectif est de remonter le temps jusqu’en 2019 et de permettre à l’équipage de prendre de la hauteur par rapport à la Terre. Ils n’auront qu’une heure pour comprendre la situation et choisir les actions les plus efficaces pour limiter le réchauffement de la planète à 2°C. En espérant que les sauts temporels successifs laissent le vaisseau intact…!

Derrière le jeu, Gaïactica est avant tout une simulation réaliste du dérèglement climatique et est basée sur une étude scientifique dont les sources ont été validées par le climatologue Jean Jouzel. Ce qui se produit sur Terre pendant la mission est donc une déclinaison d’estimations scientifiques reconnues comme plausibles à ce jour. 

Une aventure, qui mêle donc à la fois science et fiction, pour nous sensibiliser au réchauffement climatique tout en s’amusant le temps d’une expérience ludique inédite.

RENCONTRE AVEC DORIAN TOURIN-LEBRET, CAPITAINE DU VAISSEAU GAÏACTICA

Dorian Tourin-Lebret, capitaine du vaisseau Gaïactica

A l’origine du projet, Dorian Tourin-Lebret un jeune multi-entrepreneur passionné et engagé ! À l’occasion du lancement de Gaïactica, il a répondu à nos questions. 

Pour quelles raisons avez-vous créé Gaïactica ? 

Gaïactica était avant tout un projet qui réunissait beaucoup de mes passions et qui me permettait d’avoir la conviction de pouvoir avoir un impact réel sur le monde, la société, l’environnement et ce d’une façon tout à fait nouvelle.

Au-delà de ce premier aspect bien personnel, le message que j’ai voulu faire passer, c’est « plutôt que de chercher à tout prix à convaincre qu’une solution est la meilleure pour limiter le dérèglement climatique, vivons une expérience qui nous propulse dans une posture active dans laquelle nous devons prendre des décisions pour l’ensemble de la planète : tout devient plus relatif ainsi ! »

Pourquoi avez-vous choisi la Nef comme partenaire financier ?

J’ai choisi la Nef comme partenaire financier avant tout pour la cohérence éthique que j’ai voulu donner au projet dès son origine. Les premiers contacts avec ma banquière m’ont ensuite rassuré dans le sérieux, la disponibilité et la transparence de la Nef, critères fondamentaux pour moi dans la vie d’une entreprise.

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